Cabinet de Maître Lionel SARFATI avocat

Indemnisation des préjudices, accidents et agressions

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Cabinet SARFATI – Défense exclusive des victimes d’accidents et d’agressions à Marseille

Le Cabinet de Maître Lionel SARFATI, situé au cœur de Marseille, est exclusivement dédié à la défense des victimes de dommages corporels. Nous intervenons dans l’ensemble des procédures d’indemnisation faisant suite à un accident de la route, une agression, un accident médical, une erreur de diagnostic, ou encore un accident de la vie courante. Notre objectif est clair : obtenir la réparation intégrale de tous vos préjudices.

Spécialisé dans l’accompagnement des victimes, Maître SARFATI met un point d’honneur à offrir une approche humaine, rigoureuse et engagée. Chaque dossier est traité de manière individualisée, avec une écoute attentive de la parole des victimes et un suivi personnalisé à chaque étape du parcours indemnitaire. Que vous soyez confronté à une procédure amiable avec un assureur ou à un contentieux devant les juridictions civiles ou pénales, nous vous accompagnons avec détermination.

Le droit du dommage corporel repose sur des principes essentiels : la réparation intégrale du préjudice, le respect du contradictoire en expertise médicale, la transparence des offres d’indemnisation. En tant qu’avocat expérimenté dans ce domaine, Maître SARFATI veille à faire respecter les droits de ses clients face aux compagnies d’assurance et aux fonds d’indemnisation (FGAO, CIVI, ONIAM...).

Le cabinet assiste ses clients dès la première phase : choix d’un médecin-conseil, organisation de l’expertise médicale (judiciaire ou amiable), analyse critique du rapport d’expertise, évaluation poste par poste selon la nomenclature Dintilhac. Nous intervenons également pour contester les offres d’indemnisation manifestement insuffisantes ou pour engager la responsabilité d’un tiers lorsque celle-ci est niée ou minimisée.

Notre cabinet traite notamment :

  • les accidents de la circulation (piéton, cycliste, passager, conducteur non fautif)
  • les agressions (victimes d'infractions pénales avec ou sans auteur identifié)
  • les accidents médicaux ou erreurs de diagnostic
  • les accidents domestiques ou de la vie (chute, brûlure, morsure…)
  • les accidents scolaires, sportifs ou professionnels en lien avec la faute d’un tiers

Le Cabinet SARFATI plaide régulièrement devant les tribunaux judiciaires de Marseille, Aix-en-Provence, Toulon et dans toute la région Sud. Grâce à une parfaite maîtrise du droit de la responsabilité civile et des mécanismes d’indemnisation, nous obtenons régulièrement des décisions favorables pour nos clients, incluant les frais d’assistance à expertise, les pertes de revenus, les souffrances endurées, et les préjudices futurs (aide humaine, incidence professionnelle, etc.).

Vous êtes victime d’un accident ou d’une agression à Marseille ou dans ses environs ? N’attendez pas pour faire valoir vos droits. Les délais peuvent être courts et les enjeux importants. Le premier contact avec le cabinet est essentiel pour évaluer vos droits à indemnisation et poser les bases d’une stratégie efficace. Vous pouvez nous joindre par téléphone ou via le formulaire de contact.

La défense des victimes est une vocation. Le Cabinet de Maître Lionel SARFATI met son expertise au service de celles et ceux qui, souvent fragilisés, ont besoin d’un accompagnement clair, réactif et déterminé pour obtenir justice.

Pourquoi choisir un avocat dédié exclusivement aux victimes ?

Lorsqu’on est victime d’un accident ou d’une agression, faire appel à un avocat spécialisé en dommage corporel est essentiel. Un avocat dédié exclusivement à la défense des victimes ne travaille jamais pour les compagnies d’assurance. Son engagement est total et sans conflit d’intérêt. Son objectif n’est pas de réduire les indemnisations, mais de les maximiser en s’appuyant sur une expertise juridique, médicale et humaine approfondie.

Contrairement à certaines pratiques d’assurance consistant à proposer des offres rapides mais incomplètes, notre cabinet veille à la prise en compte de tous les postes de préjudices : souffrances endurées, pertes de revenus, préjudice professionnel, frais divers, besoin d’assistance, aménagement du domicile ou du véhicule, retentissement sexuel, préjudice d’établissement, préjudice moral, etc.

Chaque dossier fait l’objet d’une étude minutieuse, avec l’aide d’un réseau de médecins de recours, d’ergothérapeutes, et parfois d’experts financiers, afin de constituer un dossier solide. Le cabinet intervient à toutes les étapes, depuis la déclaration initiale d’accident jusqu’à l’obtention du versement de l’indemnité finale.

Nous accompagnons également les proches des victimes décédées ou gravement handicapées dans le cadre d’un préjudice d’affection ou d’un préjudice économique. Le droit du dommage corporel permet de reconnaître la souffrance et les conséquences subies par l’entourage. Ce sont des démarches douloureuses mais essentielles pour obtenir une reconnaissance juridique et une juste réparation.

La procédure d’indemnisation expliquée

L’indemnisation du dommage corporel passe souvent par plusieurs étapes : expertise médicale amiable ou judiciaire, évaluation selon la nomenclature Dintilhac, négociation avec l’assureur ou action en justice. Chaque phase peut avoir une incidence directe sur le montant de l’indemnisation. Une mauvaise évaluation initiale peut entraîner des conséquences durables. C’est pourquoi il est vivement conseillé d’être assisté dès le début par un avocat formé à ces problématiques.

Le cabinet SARFATI veille à faire respecter les délais légaux imposés aux compagnies d’assurance, notamment ceux des articles L. 211-9 et L. 211-13 du Code des assurances, sous peine de sanctions financières. Ces textes protègent les victimes face aux retards ou offres manifestement insuffisantes. En cas de carence, nous saisissons les tribunaux compétents pour obtenir une provision ou ordonner une expertise.

Les victimes doivent également être informées de leurs droits à l’aide juridictionnelle dans certains cas, ou à la mise en œuvre d’une protection juridique prévue dans leur contrat d’assurance habitation ou automobile. Le cabinet peut vous aider à activer ces dispositifs afin de réduire ou supprimer tout reste à charge.

En définitive, l’assistance d’un avocat compétent, réactif et exclusivement au service des victimes peut faire la différence entre une indemnisation partielle et une réparation véritablement intégrale. Le Cabinet de Maître Lionel SARFATI s’engage à vos côtés avec transparence, rigueur et humanité.

L’évaluation des préjudices selon la nomenclature Dintilhac

L’indemnisation d’une victime ne s’improvise pas. En France, la réparation des préjudices corporels est structurée autour d’un outil devenu incontournable : la nomenclature Dintilhac. Élaborée par un groupe de travail piloté par la Cour de cassation, cette nomenclature vise à harmoniser l’évaluation des dommages et garantir une indemnisation juste, complète et lisible.

Elle distingue clairement les préjudices patrimoniaux (pertes financières ou dépenses subies) et les préjudices extrapatrimoniaux (souffrances, troubles dans les conditions d’existence, atteintes à la vie privée, etc.). Chaque poste doit être analysé de façon rigoureuse, sur la base des éléments médicaux, sociaux et professionnels du dossier.

Parmi les principaux postes de préjudices souvent indemnisés :

  • Déficit fonctionnel temporaire (DFT) : incapacité partielle ou totale pendant la convalescence
  • Déficit fonctionnel permanent (DFP) : séquelles définitives altérant les capacités physiques ou psychiques
  • Souffrances endurées (SE) : douleurs physiques et morales
  • Préjudice esthétique : cicatrices, déformations ou altérations visibles
  • Préjudice d’agrément : impossibilité de pratiquer des loisirs ou activités sociales
  • Pertes de gains professionnels futurs et incidence professionnelle
  • Frais médicaux, d’assistance ou d’aménagement du domicile
  • Préjudices des proches : préjudice d’affection, d’accompagnement, charges nouvelles

L’analyse de ces postes exige une parfaite maîtrise des barèmes, de la jurisprudence locale et des éléments médicaux. Un simple détail dans un rapport d’expertise peut entraîner une sous-évaluation du préjudice si aucune vigilance n’est exercée. Le cabinet SARFATI travaille de concert avec des médecins de recours indépendants pour préparer et accompagner ses clients lors des expertises.

Il ne suffit pas d’être blessé pour obtenir réparation : il faut le démontrer, le chiffrer, et le défendre point par point. Cette démarche rigoureuse permet d’éviter les offres sous-évaluées et de garantir à la victime une indemnisation conforme à la réalité de ses souffrances et de son handicap.

Le recours à un avocat rompu à l’analyse de la nomenclature Dintilhac est donc un atout décisif. Grâce à notre expérience, nous optimisons la valorisation de chaque poste, qu’il soit visible ou non. Car derrière chaque chiffre, il y a une personne, une histoire, un parcours. C’est cette réalité que nous défendons, sans compromis.

L’expertise médicale : une étape-clé pour obtenir une juste indemnisation

Dans toute procédure d’indemnisation du dommage corporel, l’expertise médicale est une phase incontournable...

L’expertise médicale est un moment de vérité. Bien préparée, bien menée, bien défendue, elle peut faire toute la différence...

Traitement amiable ou procédure judiciaire : quelle voie choisir pour votre indemnisation ?

Lorsque survient un accident ou une agression, la victime est rapidement confrontée à une question cruciale...

Quelle que soit la voie choisie, le respect de vos droits et la justesse de l’indemnisation restent notre priorité...

Un cabinet engagé, une défense humaine, une indemnisation juste

Depuis sa création, le Cabinet de Maître Lionel SARFATI s’est donné pour mission de replacer la victime au cœur du processus d’indemnisation...

Vous n’êtes pas seul. Ensemble, faisons valoir vos droits.

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Présentation

Le Cabinet de Maître Lionel SARFATI avocat accompagne les victimes d'accidents et d'agressions dans toutes les étapes de leur parcours indemnitaire. Nous défendons exclusivement les intérêts des victimes, avec rigueur, humanité et engagement.

Compétences

  • Dommage corporel lié aux accidents de la route
  • Victimes d'agressions et d'infractions pénales
  • Réparation du préjudice corporel (négociation & contentieux)
  • Assistance en expertise médicale

Honoraires

Une convention d'honoraires est systématiquement proposée. Le cabinet privilégie une transparence totale, avec des modalités adaptées : forfait, taux horaire ou honoraire de résultat selon les cas.

Actualités juridiques

🚙 Octobre 2024 – AIG condamnée à indemniser une victime pour plus de 14 000 € après expertise

Contexte de l’affaire :
Madame Y. a été victime d’un accident de la circulation le 18 novembre 2021. Elle a présenté des douleurs cervicales, costales et à l’épaule, ainsi qu’un état anxieux persistant nécessitant un suivi psychiatrique et une médication adaptée.

Position de l’assureur :
AIG ne contestait pas le droit à indemnisation, mais demandait la réduction des sommes réclamées et s’opposait à l’exécution provisoire. Elle souhaitait limiter l’application du doublement des intérêts légaux à une période plus restreinte.

Décision du tribunal :
Par jugement du 14 octobre 2024, le Tribunal judiciaire de Marseille a évalué le préjudice corporel de la victime à 14 139,18 €, comprenant :
– 1 200 € pour les frais d’assistance à expertise
– 1 539,18 € pour le déficit fonctionnel temporaire
– 5 000 € pour les souffrances endurées
– 6 400 € pour le déficit fonctionnel permanent
Après déduction d’une provision de 1 500 €, le solde alloué s’élève à 12 639,18 €. Le tribunal a en outre condamné AIG au doublement des intérêts légaux pour retard dans la présentation de l’offre définitive.

Analyse du Cabinet :
Ce jugement illustre l’importance d’une expertise médicale détaillée dans l’évaluation des préjudices corporels. Il souligne aussi la portée des articles L. 211-9 et L. 211-13 du Code des assurances : en cas de retard injustifié dans l’offre d’indemnisation, l’assureur s’expose à une majoration automatique des intérêts. Le tribunal a veillé à une juste réparation de l’ensemble des postes de préjudice reconnus.

🚦 Mai 2023 – La MACIF tenue pour responsable après un refus de priorité injustifié

Contexte de l’affaire :
Madame X. a été victime d’un accident en juillet 2021 à Marseille. Alors qu’elle tournait à droite au feu vert, un véhicule a surgi de la voie de bus située à sa droite et l’a percutée violemment. Deux témoins confirment que le véhicule adverse circulait dans une voie réservée sans y être autorisé.

Position de l’assureur :
La MACIF contestait toute responsabilité, reprochant à la victime d’avoir effectué un changement de direction sans vigilance suffisante. Elle demandait le rejet de toute indemnisation.

Décision du tribunal :
Par jugement du 16 mai 2023, le Tribunal judiciaire de Marseille a reconnu la responsabilité exclusive du conducteur assuré par la MACIF. Il a ordonné une expertise médicale judiciaire et alloué une provision de 2 500 € à la victime.

Analyse du Cabinet :
Ce jugement rappelle que le non-respect des règles de circulation dans les voies réservées entraîne la responsabilité pleine et entière du conducteur fautif. L'expertise médicale permettra d'évaluer précisément les préjudices corporels de la victime.

🚗 Janvier 2025 – Accident avec un véhicule non assuré : indemnisation obtenue malgré la franchise contractuelle

Contexte de l’affaire :
Madame Y., victime d’un accident en octobre 2020, était conductrice d’un véhicule assuré mais percuté par un tiers circulant sans assurance. L’accident a entraîné une incapacité temporaire partielle, des souffrances physiques et un déficit fonctionnel permanent léger.

Position des assureurs :
La société SERENIS acceptait une indemnisation partielle dans le cadre de la garantie du conducteur, mais refusait d’indemniser le déficit fonctionnel permanent. Le FGAO, appelé à intervenir subsidiairement, contestait le droit à réparation en invoquant une faute de conduite de la victime.

Décision du tribunal :
Par jugement du 7 janvier 2025, le Tribunal judiciaire de Marseille condamne SERENIS à verser 4 130 € à la victime pour ses préjudices contractuellement garantis. Il fixe également une indemnisation de 1 960 € au titre du déficit fonctionnel permanent, opposable au FGAO. Le tribunal écarte toute faute de conduite de la victime et juge son droit à indemnisation plein et entier.

Analyse du Cabinet :
Ce jugement met en lumière deux points essentiels :
– Le refus d’indemniser un poste non garanti n’éteint pas les droits de la victime contre le tiers responsable ;
– Le FGAO ne peut exclure l’indemnisation que si la faute de la victime est prouvée. Ici, aucune faute n’étant caractérisée, le tribunal a reconnu l’entier droit à réparation.

Qu’en disent nos clients ?

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